#MoisDuLunch jour 9: le tricheur
Pas toujours facile la vie de “blogueur” culinaire (ou d’étudiant): le travail à temps partiel et les partys sans fin du weekend peuvent facilement nous retarder dans nos travaux…
C’est le cas des derniers jours, alors comme lunch aujourd’hui je triche un peu et je vous propose une recette que j’ai préparé pour ma famille hier soir: des rouleaux de printemps au quinoa.
Je dois l’admettre, ma bête noire en cuisine c’est la pâte à tarte. Par contre contrairement à une formule d’algèbre on peut facilement se procurer une tarte dans la section des desserts de l’épicerie. C’est ce que j’ai fait aujourd’hui avec une délicieuse tarte aux pommes “fait maison”. Chuuut, ce secret reste entre vous et moi. 😉
Rouleaux de printemps au quinoa
Temps de préparation: 20 minutes
Ingrédients pour 12 rouleaux
12 feuilles de riz
2 carottes de taille moyenne coupées en julienne
4 radis coupés en julienne
1/2 concombre anglais coupé en julienne
15 ml de vinaigre de riz
15 ml de sirop d’érable
5 ml de sauce soya
325 ml de quinoa cuit
Sel, poivre au goût
Méthode
Dans un bol, mélanger les carottes, les radis, le concombre, le vinaigre de riz, le sirop d’érable. et la sauce soya
Laisser mariner au frigo au moins 30 minutes
Dans un bol avec de l’eau chaude, tremper une feuille de riz à la fois
Retirer au bout de 20 secondes et déposer sur un linge propre et sec
Déposer en plein centre de la feuille un peu de mélange de légumes sans son jus et un peu de quinoa
Faire un premier plis vers le haut de la feuille, rabattre les côtés de façon que notre rouleau soit bien fermé et roulé jusqu’au bout
Garder vos rouleaux couvert d’un linge humide de façon qu’ils ne sèchent pas
Servir avec la marinade en guise de sauce ou avec ma fameuse recette de sauce aux arachides
Pour les raisins secs, je vous conseille les raisins dorés. Ils sont un peu plus gros, le même prix et personnellement je les trouve meilleurs au goût.
“La seule façon de vivre bien est d’être en accord avec sa conscience, de ne jamais tricher avec soi-même.”
– Janine Boissard
